HUMOUR MAI 2008
5 participants
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à consommer avec modération !!! hic !!!
Gérard Mansoif !!!
Hic !!!
Toute ressemblance ... etc. etc.
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
à consommer avec modération !!! hic !!! (bis)
Champion olympique de bars parallèles
(agrandissement d'un bar à Bussang)
Langue de vipère- Messages : 100
Date d'inscription : 13/03/2008
les blondes !!!
quelle est la différence entre une blonde et un moustique ?
c'est que le moustique arrete de succer quand on lui tape sur le front!
c'est une blonde qui rentre dans un bureau de tabac et qui demande un paquet de cigarettes.
elle donne alors un billet de 100 €uros.
la caissiere examine le billet et dit:
c'est un faux!!
alors la blonde s'ecrie:
oh le salaud....mais alors c'etait un viol!
c'est que le moustique arrete de succer quand on lui tape sur le front!
c'est une blonde qui rentre dans un bureau de tabac et qui demande un paquet de cigarettes.
elle donne alors un billet de 100 €uros.
la caissiere examine le billet et dit:
c'est un faux!!
alors la blonde s'ecrie:
oh le salaud....mais alors c'etait un viol!
Dernière édition par Biquet le Dim 25 Mai - 8:44, édité 1 fois
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
SANS PAROLE
pubs heureuses ou malheureuses ?
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Mon humour....!!!
Ci-dessous, une lettre authentique envoyée par une dame de 86 ans à une banque.
Bien que longue, cette lettre mérite votre attention.
Cher Monsieur,
Je vous écrit pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier.
Selon mes calculs, trois nanosecondes se sont écoulées entre la présentation du chèque, et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement.
Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans. Il faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30$ de frais pour le désagrément causé à votre banque. Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances.
J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque. A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une personne de chair et d'os.
Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques mais arriveront à votre banque par chèques adressés personnellement et confidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque que je devrai donc sélectionner.
Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal.
Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e) désigné(e) de remplir. Il comporte huit pages, j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative. Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent être contresignées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés. Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez- vous. Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres mais, encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux service téléphonique de votre banque. Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincère.
Laissez-moi développer cette procédure. Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit :
Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue, ensuite Le 1 pour prendre rendez-vous avec moi
Le 2 pour toute question concernant un retard de paiement
Le 3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais
Le 4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais
Le 5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où je coulerais un bronze
Le 6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison
Le 7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire.
Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de contact autorisée mentionnée plus tôt.
Le 8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7
Le 9 pour toute question ou plainte d'aspect général. Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique.
Le 10, à nouveau pour sélectionner la langue. Ceci peut augmenter l'attente mais une musique inspirante sera jouée durant ce laps de temps.
Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple, je devrai infliger le prélèvement de frais pour couvrir l'installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ?
Respectueusement,
Votre humble cliente.
(Souvenez-vous : ceci fut écrit par une dame âgée de 86 ans)
N'ADOREZ-VOUS PAS LE 3ème AGE ?
Ne contrariez pas les vieilles dames. Elles sont déjà contrariées d'être veilles, il n'en faut pas beaucoup plus pour les mettre en colère... respectueusement !!!
Cher Monsieur,
Je vous écrit pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier.
Selon mes calculs, trois nanosecondes se sont écoulées entre la présentation du chèque, et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement.
Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans. Il faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30$ de frais pour le désagrément causé à votre banque. Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances.
J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque. A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une personne de chair et d'os.
Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques mais arriveront à votre banque par chèques adressés personnellement et confidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque que je devrai donc sélectionner.
Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal.
Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e) désigné(e) de remplir. Il comporte huit pages, j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative. Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent être contresignées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés. Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez- vous. Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres mais, encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux service téléphonique de votre banque. Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincère.
Laissez-moi développer cette procédure. Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit :
Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue, ensuite Le 1 pour prendre rendez-vous avec moi
Le 2 pour toute question concernant un retard de paiement
Le 3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais
Le 4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais
Le 5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où je coulerais un bronze
Le 6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison
Le 7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire.
Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de contact autorisée mentionnée plus tôt.
Le 8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7
Le 9 pour toute question ou plainte d'aspect général. Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique.
Le 10, à nouveau pour sélectionner la langue. Ceci peut augmenter l'attente mais une musique inspirante sera jouée durant ce laps de temps.
Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple, je devrai infliger le prélèvement de frais pour couvrir l'installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ?
Respectueusement,
Votre humble cliente.
(Souvenez-vous : ceci fut écrit par une dame âgée de 86 ans)
N'ADOREZ-VOUS PAS LE 3ème AGE ?
Ne contrariez pas les vieilles dames. Elles sont déjà contrariées d'être veilles, il n'en faut pas beaucoup plus pour les mettre en colère... respectueusement !!!
La Vieille- Messages : 139
Date d'inscription : 12/03/2008
Question pour un champion ...
Julien : Qui prend la main ?
Gérard : Je prends la main
Julien : Gérard Mansoif, vous prenez la main ?
Gérard : Tout à fait Julien !
Julen : Attention, Gérard Mansoif, prêt ??? Top 30 secondes ...
JE SUIS ...............
Une chose très utile qui mesure en général dans les quinze centimètres.
En temps normal, je suis là, inerte, attendant l'action.
On trouve à l'une de mes extrémités un buisson de poils que je porte avec arrogance.
Lorsqu'on m'utilise, c'est en m'introduisant promptement, et souvent vigoureusement.
Mais il y a les adeptes d'une utilisation rapide, comme ceux d'une utilisation lente: tout dépend du tempérament et de la condition physique.
Cependant la méthode d'emploi est toujours la même: des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée.
Lorsque j'ai finalement terminé mon office, je laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et un peu sucrée.
On retrouvera également cette sécrétion sur moi-même et dans mes poils.
Il faudra me nettoyer pour que je sois à nouveau propre en attendant mon prochain emploi.
Une fois de retour à l'état de repos, j'attends sagement ma prochaine utilisation.
On pourrait m'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes sont capables de soutenir.
JE SUIS ................. JE SUIS ................. JE SUIS .................
(Lire plus bas)
Toute ressemblance ... etc... etc...
Gérard : Je prends la main
Julien : Gérard Mansoif, vous prenez la main ?
Gérard : Tout à fait Julien !
Julen : Attention, Gérard Mansoif, prêt ??? Top 30 secondes ...
JE SUIS ...............
Une chose très utile qui mesure en général dans les quinze centimètres.
En temps normal, je suis là, inerte, attendant l'action.
On trouve à l'une de mes extrémités un buisson de poils que je porte avec arrogance.
Lorsqu'on m'utilise, c'est en m'introduisant promptement, et souvent vigoureusement.
Mais il y a les adeptes d'une utilisation rapide, comme ceux d'une utilisation lente: tout dépend du tempérament et de la condition physique.
Cependant la méthode d'emploi est toujours la même: des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée.
Lorsque j'ai finalement terminé mon office, je laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et un peu sucrée.
On retrouvera également cette sécrétion sur moi-même et dans mes poils.
Il faudra me nettoyer pour que je sois à nouveau propre en attendant mon prochain emploi.
Une fois de retour à l'état de repos, j'attends sagement ma prochaine utilisation.
On pourrait m'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes sont capables de soutenir.
JE SUIS ................. JE SUIS ................. JE SUIS .................
(Lire plus bas)
Toute ressemblance ... etc... etc...
Dernière édition par Biquet le Ven 23 Mai - 17:48, édité 3 fois
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Réponse
........... UNE BROSSE A DENTS.
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Transport scolaire
Une bonne idée pour Mr le Maire ???
Langue de vipère- Messages : 100
Date d'inscription : 13/03/2008
ce n'est pas toujours ce qu'on croit ...
Bon, c'est un type qui pense que sa femme le trompe ( la salope ) et qui arrive en courant dans sa chambre.
- salope ! je sais que t'as couché avec un type, et je suis même sur qu'il est dans la R5, en bas de l'immeuble... et il balance le frigo sur la R5.
Plus tard, au paradis, St Pierrot reçoit deux types.
Le premier lui dit :
- J'étais dans ma bagnole quand un fou m'a balancé un frigo dessus.
Et le second :
- Moi, j'étais dans le frigo.
- salope ! je sais que t'as couché avec un type, et je suis même sur qu'il est dans la R5, en bas de l'immeuble... et il balance le frigo sur la R5.
Plus tard, au paradis, St Pierrot reçoit deux types.
Le premier lui dit :
- J'étais dans ma bagnole quand un fou m'a balancé un frigo dessus.
Et le second :
- Moi, j'étais dans le frigo.
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
c'qu'y fait noir là dedans
C'est une femme qui profitant de l'absence de son mari le trompe (banal jusque
là). Une fois l'acte fini elle s'endort et l'amant s'éclipse. Mais alors qu'il
passe devant l'armoire, il entend : 'Putain c'qu'y fait noir là dedans!'. Il
ouvre la porte et sort un petit garçon qui lui dit 'si tu me donnes pas 100 € je
dis tout à mon père'. L'amant cède et s'en va.
Quelques jour plus tard, l'amant et la femme recommencent...
Et lorsque l'amant s'en va passant devant la penderie il entend : 'Putain c'qu'y
fait noir là dedans!'. Il ouvre et le petit lui demande 150 €; l'amant cède
encore.
Le lendemain à table le petit garçon dit à son père : 'tu as vu papa je me suis
acheté un nouveau vélo'. Le père déclare alors :'écoute mon fils ce vélo coûté
au moins 250 € je ne sais pas o tu as eu cet argent mais ce ne doit pas être
très beau, alors va tout de suite te confesser...'
Le garçon s'exécute et se dirige vers l'église, il entre dans le confessionnal
et déclare :'Putain c'qu'y fait noir là dedans!'. Alors une voix de l'autre côté
de la cloison déclare :'Ah non tu ne vas pas venir me taxer jusqu'ici!'
là). Une fois l'acte fini elle s'endort et l'amant s'éclipse. Mais alors qu'il
passe devant l'armoire, il entend : 'Putain c'qu'y fait noir là dedans!'. Il
ouvre la porte et sort un petit garçon qui lui dit 'si tu me donnes pas 100 € je
dis tout à mon père'. L'amant cède et s'en va.
Quelques jour plus tard, l'amant et la femme recommencent...
Et lorsque l'amant s'en va passant devant la penderie il entend : 'Putain c'qu'y
fait noir là dedans!'. Il ouvre et le petit lui demande 150 €; l'amant cède
encore.
Le lendemain à table le petit garçon dit à son père : 'tu as vu papa je me suis
acheté un nouveau vélo'. Le père déclare alors :'écoute mon fils ce vélo coûté
au moins 250 € je ne sais pas o tu as eu cet argent mais ce ne doit pas être
très beau, alors va tout de suite te confesser...'
Le garçon s'exécute et se dirige vers l'église, il entre dans le confessionnal
et déclare :'Putain c'qu'y fait noir là dedans!'. Alors une voix de l'autre côté
de la cloison déclare :'Ah non tu ne vas pas venir me taxer jusqu'ici!'
Dernière édition par Biquet le Dim 25 Mai - 8:52, édité 1 fois
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
comme des bêtes
Un gosse qui voit dans la rue un chien en train de saillir une chienne demande à son père ce qu'ils font.
Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener.
Le gosse :'C'est comme maman hier, heureusement qu'elle se tenait bien au lavabo, sans cela le facteur l'emmenait à la poste.'
Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener.
Le gosse :'C'est comme maman hier, heureusement qu'elle se tenait bien au lavabo, sans cela le facteur l'emmenait à la poste.'
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Pour nous, les femmes !
Un patient gravement malade est à l'hôpital.
La famille est réunie dans la salle d'attente. Un médecin entre, fatigué et dit désolé : " Je vous apporte de mauvaises nouvelles. L'unique chance de survie est une greffe de cerveau. C'est une opération expérimentale, très risquée et dont les frais seront totalement à votre charge". La famille reste abasourdie. Un des membres demande : " Combien coûte un cerveau ? "
"ça dépend, répond le médecin, 5000 Euro pour un cerveau d'homme, 200 Euro un cerveau de femme".
Alors un long moment de silence s'installe.
Les hommes de la famille se retiennent de rire et évitent de regarder les femmes.
Un curieux ose quand même poser la question : " Docteur, pourquoi une telle différence de prix ? " Le docteur sourit face à une telle question, puis répond :
" Les cerveaux de femme coûtent moins, car ce sont les seuls à avoir été utilisés "
Salutations aux hommes qui ont souris à la moitié de l'histoire.
Bisous aux femmes qui ont souris à la fin ! ! ! !
La Vieille- Messages : 139
Date d'inscription : 12/03/2008
La vieille, voilà la preuve !!!
Les différences sont flagrantes.
Le cerveau masculin est plus gros !!!
Langue de vipère- Messages : 100
Date d'inscription : 13/03/2008
Problème de robinet
Toto (5 ans) et Lili (3 ans) prennent leur bain ensemble sous la haute
surveillance de leur mère et jusque là tout s'est bien passé...
Cette fois ci Lili regarde le bas-ventre de Toto, regarde le sien et s'étonne:
- Dis maman qu'est-ce qu'il a entre les jambes Toto ?
- C'est un p'tit robinet pour faire pipi
- Ah bon ? mais moi j'en ai pas ??
- C'est normal, toi tu es une fille, tu as une fontaine pour faire pipi, c'est
normal tu sais..
- Ah bon ben et toi , maman ?
- Moi aussi je suis une fille donc j'ai une fontaine
- Ah bon, ben et papa il a un robinet lui ?
- Mais oui ma chérie, papa c'est un garçon, donc il a un robinet
Et Toto , qui l'avait pas ouverte jusque là , de dire
- Ouais papa il a un robinet, même que l'autre jour il devait être bouché: j'ai
vu la bonne qui soufflait dedans...
surveillance de leur mère et jusque là tout s'est bien passé...
Cette fois ci Lili regarde le bas-ventre de Toto, regarde le sien et s'étonne:
- Dis maman qu'est-ce qu'il a entre les jambes Toto ?
- C'est un p'tit robinet pour faire pipi
- Ah bon ? mais moi j'en ai pas ??
- C'est normal, toi tu es une fille, tu as une fontaine pour faire pipi, c'est
normal tu sais..
- Ah bon ben et toi , maman ?
- Moi aussi je suis une fille donc j'ai une fontaine
- Ah bon, ben et papa il a un robinet lui ?
- Mais oui ma chérie, papa c'est un garçon, donc il a un robinet
Et Toto , qui l'avait pas ouverte jusque là , de dire
- Ouais papa il a un robinet, même que l'autre jour il devait être bouché: j'ai
vu la bonne qui soufflait dedans...
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Toto fait de la politique
Un garçon demande à son père :
- Papa, je dois faire un exposé à l'école, est-ce que je peux te poser quelques
questions ?
- Oui bien sûr, vas y qu'est-ce que tu veux savoir ?
- C'est quoi la politique ?
Le père réfléchit un peu puis se lance :
- Et bien voila, prenons comme exemple notre foyer. Je suis un salarié, donc je
gagne de l'argent, donc appelons moi 'capitalisme'. Ta mère c'est
l'administrateur des biens, appelons la 'gouvernement'. Nous devons nous occuper
de toi et pourvoir à tes besoins, donc toi tu es 'le peuple'. Appelons la bonne
'la classe ouvrière', et ta petite soeur qui n'a qu'un an, 'le futur'. Est ce
que c'est plus clair maintenant?
Le petit réfléchit et dit :
- Je ne suis pas très sûr, mais je vais y réfléchir.
Cette nuit là, réveillé par les cris de sa petite soeur, le garçon est allé voir
ce qui n'allait pas. Découvrant que sa jeune soeur a sérieusement rempli ses
couches, le petit est allé à la chambre de ses parents en voyant que sa mère est
profondément endormie il alla voir dans la chambre de la bonne où à travers le
trou de serrure il a vu son père en train de sauter la bonne.
Le petit fut tellement dégoûté par ce qu'il a vu qu'il est retourné dans sa
chambre et s'est recouché.
Le lendemain matin le petit va voir son père:
- Ça y est papa, maintenant je crois avoir compris ce que c'est que la politique.
- Très bien fiston ! Raconte moi maintenant avec tes propres mots.
- Et bien, pendant que le Capitalisme encule la Classe Ouvrière, le Gouvernement
est profondément endormi, le Peuple est complètement ignoré et le Futur est dans
la merde.
- Papa, je dois faire un exposé à l'école, est-ce que je peux te poser quelques
questions ?
- Oui bien sûr, vas y qu'est-ce que tu veux savoir ?
- C'est quoi la politique ?
Le père réfléchit un peu puis se lance :
- Et bien voila, prenons comme exemple notre foyer. Je suis un salarié, donc je
gagne de l'argent, donc appelons moi 'capitalisme'. Ta mère c'est
l'administrateur des biens, appelons la 'gouvernement'. Nous devons nous occuper
de toi et pourvoir à tes besoins, donc toi tu es 'le peuple'. Appelons la bonne
'la classe ouvrière', et ta petite soeur qui n'a qu'un an, 'le futur'. Est ce
que c'est plus clair maintenant?
Le petit réfléchit et dit :
- Je ne suis pas très sûr, mais je vais y réfléchir.
Cette nuit là, réveillé par les cris de sa petite soeur, le garçon est allé voir
ce qui n'allait pas. Découvrant que sa jeune soeur a sérieusement rempli ses
couches, le petit est allé à la chambre de ses parents en voyant que sa mère est
profondément endormie il alla voir dans la chambre de la bonne où à travers le
trou de serrure il a vu son père en train de sauter la bonne.
Le petit fut tellement dégoûté par ce qu'il a vu qu'il est retourné dans sa
chambre et s'est recouché.
Le lendemain matin le petit va voir son père:
- Ça y est papa, maintenant je crois avoir compris ce que c'est que la politique.
- Très bien fiston ! Raconte moi maintenant avec tes propres mots.
- Et bien, pendant que le Capitalisme encule la Classe Ouvrière, le Gouvernement
est profondément endormi, le Peuple est complètement ignoré et le Futur est dans
la merde.
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
Le douanier
Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis en bicyclette.
Il a un gros sac sur ses épaules.
Le douanier l'arrête et lui demande :
- Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?
Il répond :
- Du sable.
Le douanier, incrédule, lui dit :
- On va voir ça... Descends du vélo.
Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol. Il fouille dedans sans rien y trouver.
- C'est bon, lui dit-il.
Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.
Une semaine plus tard, la même chose se produit.
Le douanier demande à Juan :
- Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?
Juan répond :
- Du sable.
Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse. Le lendemain, les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.
Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent. A chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.
Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.
Un beau jour, alors qu'il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.
- Hé ! je te reconnais, toi! Tu n'est pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?
Juan reconnaît le douanier et lui répond :
- Oui, c'est moi.
- Qu'est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.
- Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.
Le douanier se décide finalement à lui demander :
- Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?...
Juan esquisse un petit sourire et répond :
- Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar.
Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :
- Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?
- Des bicyclettes.
Il a un gros sac sur ses épaules.
Le douanier l'arrête et lui demande :
- Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?
Il répond :
- Du sable.
Le douanier, incrédule, lui dit :
- On va voir ça... Descends du vélo.
Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol. Il fouille dedans sans rien y trouver.
- C'est bon, lui dit-il.
Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.
Une semaine plus tard, la même chose se produit.
Le douanier demande à Juan :
- Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?
Juan répond :
- Du sable.
Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse. Le lendemain, les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.
Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent. A chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.
Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.
Un beau jour, alors qu'il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.
- Hé ! je te reconnais, toi! Tu n'est pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?
Juan reconnaît le douanier et lui répond :
- Oui, c'est moi.
- Qu'est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.
- Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.
Le douanier se décide finalement à lui demander :
- Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?...
Juan esquisse un petit sourire et répond :
- Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar.
Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :
- Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?
- Des bicyclettes.
Biquet- Messages : 92
Date d'inscription : 06/03/2008
Localisation : Bussang
slurp slurp
Chat : Hum je me le ferais bien lui slurp
Souris : Mais quesce qui me matte lui grrr
Angie- Messages : 6
Date d'inscription : 09/05/2008
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